Tarn et Garonne Aménagement
L’essor du numérique public en Tarn-et-Garonne
Pourquoi un syndicat mixte numérique ?
L’ambition du Très Haut Débit pour tous
La téléphonie mobile reste un parent pauvre
La longue reconquête du numérique public en Tarn-et-Garonne
Fin des années 90 : révolution et privatisation du secteur
En 1997, la privatisation de France Télécom -qui deviendra Orange- marque la fin du service public des télécommunications. A l’heure des premiers « surfs » sur « la toile », le choix est à la privatisation de l’opérateur, mais aussi du réseau téléphonique, qui représente un actif stratégique en matière de télécommunications électroniques compte-tenu du développement de la technologie aDSL.
En parallèle de l’internet fixe on assiste à l’accélération de l’accès à la technologie mobile (essentiellement pour la voix à l’époque) dont les aménagements relèvent d’une stratégie privée.
Ces deux « révolutions » technologiques (l’internet fixe et la téléphonie mobile) vont donc avoir lieu en parallèle d’un retrait des acteurs public, qui mise sur une autorégulation du secteur et sur l’aménagement harmonieux et philanthrope des territoires qui doit en découler.
Les années 2000 : les premières interventions publiques
Faute de « bug » de l’an 2000, la « gueule de bois » est bien là et en ce début de nouveau millénaire, où se font ressentir les premières fractures dans la couverture numérique, notamment dans les zones rurales.